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Appel à participation - Construction durable - Les ateliers de l’innovation, programme « Optimisation de la filière construction et réhabilitation de logements »

Dans l’optique d’exploiter les résultats et les enseignements de diverses opérations d’habitat sur les coûts et la qualité de la filière construction et réhabilitation, le PUCA met en place des ateliers de travail collaboratifs. Regroupés sous l’intitulé « Les Ateliers de l’innovation », ils ambitionnent de mobiliser des chercheurs et des professionnels de la filière : maîtres d’ouvrages, programmistes, assistants à maître d’ouvrage, architectes, bureaux d’études, économistes, entreprises, constructeurs, artisans, industriels, bureaux de contrôle, consultants, exploitants, gestionnaires, formateurs…

Ces ateliers ont une double mission qui est de constituer un état de l’art des connaissances accumulées et, à partir d’expertises menées sur des opérations expérimentales exemplaires, de faire émerger les questionnements à explorer pour favoriser les changements à l’œuvre. Chaque atelier se déroulera en deux temps : un temps de présentation (2 ou 3 heures maxi) puis un moment d’échange entre les participants.

Les sujets suivants ont été retenus et seront abordés durant l’année 2013 :
  • La maquette numérique : vers une nouvelle donne ?
  • Construction/réhabilitation « low cost » ou à prix acceptable ?
  • Qualité des réalisations
  • Coûts des non-qualités
  • Evolution des missions des acteurs et interfaces (Exigences performancielles)
  • Process de commande/conception/réalisation/maintenance/gestion
  • Performance d’usage

A l’issue de ces ateliers, un colloque sur l’innovation dans la construction et la réhabilitation des logements conclura la démarche en réalisant la synthèse des propositions des différents travaux. Ce colloque actera le lancement d’actions de recherches et d’expérimentations que les ateliers auront contribué à définir.

Appel à participation pour le premier atelier «  La maquette numérique : vers une nouvelle donne ? »
Que ce soit au sein de la presse professionnelle, au sein de démarches institutionnelles ou à travers diverses initiatives professionnelles, l’usage de la maquette numérique semble significativement émerger. Cette nouvelle méthode de conception représente à la fois un défi technologique et un défi humain exigeant un niveau de collaboration entre acteurs important et la mise en place de nouveaux protocoles de travail.

Le thème de la maquette numérique fera l’objet de deux journées d’atelier dont la première aura lieu courant Janvier 2012. Celle-ci aura pour objectif d’analyser et d’échanger sur l’impact potentiel de la maque numérique au niveau des relations au sein de la maitrise d’œuvre, qu’ils soient positifs ou négatifs. A travers des retours d’expériences et des témoignages de différents acteurs de la maitrise d’œuvre, l’atelier tentera de mettre en lumière les enjeux et perspectives du développement de cette nouvelle technologie à travers deux principaux axes :
  • Les relations au sein de la maitrise d’œuvre
  • L’information, sa définition, son parcours, son coût, son pouvoir

Si vous avez travaillé sur une opération pour laquelle l’usage de la maquette numérique a nécessité de redéfinir les process de programmation, conception, réalisation ou a permis de réduire les coûts, les délais, tout en augmentant la performance de l’opération : venez témoigner en nous soumettant le plus rapidement  vos réalisations et le regard que vous portez sur le travail réalisé.

Pour plus de renseignement ou pour s’inscrire :
Plan Urbanisme Construction Architecture :
→ Olivier Gaudron, chargé de projet PUCA, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. / 01 40 81 90 95
 
AMO pour le montage des ateliers de l’innovation :
→Axelle Szymanski, Chef de Projet LesEnR, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
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Construction durable - Le compost pour les nuls

Vous êtes un particulier et rêvez de mettre en place un compostage partagé au pied de votre immeuble ? Un élu qui souhaite soutenir de telles initiatives ? Un responsable d’établissement souhaitant installer un compostage autonome ? L’ADEME publie deux guides – à destination des particuliers et des professionnels – qui proposent un aperçu exhaustif de la question du compostage partagé (particuliers) et autonome (établissements) : enjeux, méthodologie, systèmes, points de vigilance, coûts et retours d’expériences sont passés à la loupe dans ces deux guides très complets.
 
 
1/ Compost partagé (en pied d’immeuble, de quartier, etc.)
Un Guide : pour qui ?
L’Ademe publie un guide très complet à destination des particuliers souhaitant initier un site de compostage partagé dans leur immeuble ou leur quartier, ainsi qu’aux élus souhaitant mettre en place une politique de soutien au compostage partagé.

Un Guide : pourquoi ?
Ce guide propose une méthodologie pour installer et suivre la gestion d’un site de compostage partagé, et présente un grand nombre de retours d’expériences. L’objectif est de viser l’exemplarité des réalisations afin d’obtenir l’adhésion du plus grand nombre et de combattre les préjugés contre le compostage (odeurs, nuisances, etc.).

Structure du guide
  • Quelques rappels sur le contexte national de la gestion des déchets organiques
  • Enjeux et principes du compostage partagé, basés soit sur du bénévolat (habitants), soit sur des professionnels (gardiens, employés municipaux, associations). Des conseils pour susciter l’adhésion des habitants et leur sensibilisation sont aussi donnés (distribution de bioseaux, réunions en pieds d’immeuble, charte d’engagement, …)
  • Cadre réglementaire
  • Les solutions techniques : déchets et quantités pris en charge. Les systèmes suivants en particulier sont passés à la loupe :
    • Lombricompostage en bacs roulants : lorsqu’aucun espace vert n’est disponible (par exemple dans la cour d’un immeuble). Pour environ 4-6 foyers --> >0,5 tonne/an
    • Bacs (en bois ou plastique) : un site de 3 bacs de 600 à 1000 litres (10 à 20m² au sol nécessaires) permet de recueillir les déchets d’environ 30 foyers --> 2-3 tonnes/an
    • Pavillons : 50m² au sol, convient pour environ 200 foyers --> 1-20 tonnes/an
    • Andains (mise en tas longs et hauts des déchets à composter afin de faciliter leur décomposition) : grande surface, à l’échelle communale (par exemple 600m² à St Philibert de Bouaine) --> 100 tonnes/an
    • Autres systèmes existants à l’étranger : silos (suisse), compostage électromécanique (suède)
  • Les points de vigilance sont abordés, comme le choix de l’emplacement, la signalétique, les conditions d’ouverture, la présence d’un co-produit comme le broyat de branches (pour éviter les odeurs et les nuisances), l’utilisation du compost, etc.
 
  • Impacts quantitatifs et économiques: taux de participation (moyenne de 23%), coûts d’installation (dépend grandement du système, de 100 à 5000 €, coût moyen de 800€), coûts de mise en œuvre (pour l’accompagnement des bénévoles par la collectivité, environ de 1500€) et coûts de fonctionnement.
  • Enfin, des solutions pour la mise en place d’une politique de soutien au compost partagé sont proposées, en s’appuyant sur des exemples réussis (Rennes, Nantes).
Ce guide illustre de manière très explicite les retombées bénéfiques des sites de compostage partagé, tant sur le plan économique, environnemental que social, rentrant ainsi pleinement dans le cadre d’un développement durable réussi.
 
 
2/ Compost autonome en établissement (secteurs d’activité publics ou privés)
Un Guide : pour qui ?
Les différents secteurs d’activité – publics ou privés – producteurs de déchets alimentaires sont visés : agroalimentaire, commerces et distribution, métiers de bouche, activités d’accueil et de loisirs. Ce guide s’adresse en particuliers aux responsables d’établissements et aux divers prestataires.
 
Un Guide : pourquoi ?
Pour mieux gérer ses biodéchets, c'est-à-dire réduire leur production d’une part et mieux les valoriser d’autre part.
 
Structure du guide
  • Enjeux nationaux et points réglementaires
  • Retours d’expériences significatifs
  • Adaptation de l’organisation générale du bâtiment au tri autonome (formation, sensibilisation, marche en avant, adaptation des zones déchets, etc.)
  • Solutions techniques : principes et domaines d’utilisation, implantation, conduite du dispositif, suivi, offre et coûts, etc. pour les solutions suivantes:
    • Le compostage manuel en enceinte, qui s’apparente au compostage domestique --> jusqu’à 10 tonnes/an
    • Le compostage mécanique en enceinte, véritable procédé industriel --> 10 tonnes/an
    • Le compostage sur plate-forme, nécessitant des surfaces d’espaces verts importantes (par exemple : établissements scolaires agricoles, services espaces verts des collectivités, etc.)
  • Une méthodologie complète : questions à se poser, principales étapes, points clés,  et éléments économiques.
Dans tous les cas, une telle démarche ne doit pas être motivée par des questions économiques seules mais s’intégrer dans un véritable projet d’établissement afin de garantir son succès.
 
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Construction durable - Ca bouge chez les labels de la RT2012 !

Les niveaux de performances envisagés pour les nouveaux labels de la RT2012 HPE et THPE sont enfin sortis.
  • Le label « HPE », soit Haute Performance Energétique, prévoit une réduction de la consommation d’énergie primaire de 10% par rapport à la RT2012
  • Le label « THPE », soit Très Haute Performance Energétique » prévoit quant à lui une réduction de 20% par rapport à la RT 2012

Un travail d’harmonisation entre le label THPE et le label Effinergie + a également été engagé. Ainsi, au lieu d’une réduction de la consommation d’énergie primaire de 30% par rapport à la RT – initialement envisagée – le label Effinergie+ s’aligne sur le label THPE et exige une consommation RT2012-20% (voir la fiche de synthèse du label Effinergie+ en logement neuf).

Dommage, aucun de ces labels ne permet d’atteindre le niveau TP (Très Performant) du nouveau référentiel HQE, qui nécessite une réduction de la consommation d’énergie primaire d’au moins 30% par rapport à la RT2012…

Les deux labels HPE et THPE devraient être finalisés incessamment sous peu à l’issue de la concertation en cours. Les exigences complètes devraient être disponibles à la rentrée 2013.

Retrouvez le communiqué de presse du ministère.

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Urbanisme durable - Lancement du « Label National EcoQuartier » par la ministre de l’Egalité des territoires Cécile Duflot

Suite aux deux appels à projets EcoQuartiers de 2009 et 2011, le ministère de l'Egalité des territoires et du Logement a clôturé sa phase d’expérimentation et de construction du référentiel ÉcoQuartier et a lancé le premier label national.

Ce label EcoQuartier permet de définir une base de réflexion commune pour l’ensemble des EcoQuartiers de France et constitue un véritable outil d’aide à la conception et à la réflexion de développement urbain durable pour l’ensemble des acteurs de projets urbains.

Le processus de labellisation :
Au lancement du processus de labellisation, la collectivité doit signer, après délibération du Conseil Municipal, la « Charte EcoQuartier » qui lui permet d’intégrer le Club EcoQuartier. Cette charte comprend 20 engagements que la collectivité s’engage à respecter.


Dès la signature de cette charte, le dossier de labellisation peut ensuite être complété. Ce dossier, à remplir sur la base des objectifs, se compose de 3 parties :
-    La partie A, qui comprend un questionnaire à remplir sur le territoire et le projet (contexte, données générales,…),
-    La partie B, qui prend la forme d’une note de présentation du projet de deux pages maximum ainsi qu’une note d’une page qui raconte une journée classique d’un habitant de l’EcoQuartier,
-    La partie C, qui est une réponse aux 20 engagements de la Charte, déclinée selon les  4 dimensions suivantes :
o    Démarche et processus,
o    Cadre de vie et usages,
o    Développement territorial,
o    Préservation des ressources et adaptation au changement climatique.
 
 
 
Une fois remis, ce dossier est analysé par un collège d’experts. Si le dossier est validé, le projet est admis à la démarche nationale et il est alors possible d’utiliser le logo « Démarche Nationale EcoQuartier ».

Après l’admission du projet, la collectivité entre dans un processus de suivi annuel jusqu’à l’obtention du label (après approximativement la livraison de 50% des espaces et des équipements publics et de 30% des bâtiments). La partie C du dossier doit alors être mise à jour mais cette fois avec les résultats et non plus avec les objectifs.

Une commission nationale délivre alors ou non le label et le projet peut ainsi utiliser le logo « Label National EcoQuartier ».

Le label national ÉcoQuartier ne repose pas sur une définition d’exigences mais insiste sur la «contextualisation» de chaque projet : il s’adapte au contexte local (environnemental et social), à la taille de la collectivité ou encore au stade d’avancement. Ce nouveau dispositif a ainsi pour but de soutenir le développement de projets pérennes et de qualité ; tout en rendant visible ces nouvelles pratiques à diverses échelles (nationale, européenne et internationale).

Ce label incite également les porteurs de projet à mener de nouvelles réflexions, sur les questions de densité, d’éco-mobilité, d’histoire et d’identité des lieux, d’animation des espaces,…qui sont nécessaires à la réalisation d’un quartier durable.

LesEnR accompagne les porteurs de projet urbain dans l’élaboration du dossier de labellisation.

Retrouvez l’ensemble des critères d’évaluation et indicateurs qui sont précisés dans le dossier de labellisation.

Retrouvez également la Charte nationale des EcoQuartiers.
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Urbanisme durable - L’évaluation par indicateurs : un outil nécessaire d’aménagement urbain durable ?

Dans le contexte actuel des réflexions autour des notions de labellisation/certification des projets d’aménagement durable menées par les différents acteurs de l’aménagement (parmi lesquels on peut citer le concours EcoQuartier du ministère et la phase test de labellisation ou encore le lancement de la démarche de certification HQE aménagement), se pose la question des outils nécessaires pour évaluer des projets aussi complexes que des projets d’aménagements durables.
 
En effet la temporalité de ces projets s’étalant sur plusieurs années, la multiplicité des acteurs impliqués ou encore la variabilité des problématiques en fonction des contextes spécifiques des opérations, font de l’opération d’aménagement un objet d’évaluation particulièrement complexe.

L’usage de l’évaluation s’appuyant sur des systèmes d’indicateurs se généralise dans tous les domaines, suscitant de nombreuses critiques.

Prônée comme moyen de mise en œuvre du développement durable, notamment par le ministère de l’écologie, l’évaluation accompagne couramment les projets de développement durable et a notamment été rendue obligatoire pour les projets de planification urbaine.

Face à ce constat, mais également face à la réalité opérationnelle qui démontre que la définition d’objectifs en phase amont d’une opération ne peut permettre l’atteinte des performances visées et la réalisation d’un aménagement durable que si elle est associée à une démarche continue de suivi et évaluation, il apparait essentiel aujourd’hui de s’interroger sur les outils d’évaluation des projets d’aménagement durable.

Plusieurs collectivités se sont engagées depuis plusieurs années dans la définition et la mise en œuvre de référentiels et outils d’évaluation d’aménagements durables (Rennes, Lyon, Lille, Montpellier, …)

La Ville de Paris fait partie des pionniers avec la réalisation de son référentiel « Un aménagement durable pour Paris » débuté en 2005 et associé à son tableau de bord d’évaluation, que LesEnR utilise pour évaluer les différentes opérations d'aménagement de la ville.
 
L’évaluation des opérations d’aménagement de la Ville de Paris, sur la base de cet outil qui continue d’évoluer, permet aujourd’hui des premiers retours d’expériences et met en avant un certain nombre de problématiques portant sur l’appropriation de ces outils et  la culture de l’évaluation, sur leur suivi au regard des temporalités mais également sur les différentes échelles territoriales à intégrer dans l’évaluation de la durabilité d’un projet d’aménagement.
 
Ces réflexions font l’objet d’un article scientifique rédigé par sept co-auteurs chercheurs et/ou praticiens engagés dans la démarche d’évaluation (Anne Jégou, Cédissia About de Chastenet, Vincent Augiseau, Cécile Guyot, Cécile Judéaux, François-Xavier Monaco et Pierre Pech). À partir de l’expérience parisienne, l’article pose la nécessité d’un débat sur l’usage de l’évaluation par indicateurs dans l’aménagement urbain durable, apporte des éléments de réponse sur la nécessité de tels outils et met en évidence un certain nombre de conditions préalables à la réussite d’une telle démarche.
 
 
 
Les auteurs de cet article sont acteurs de la démarche parisienne d’évaluation, dans le cadre d’une collaboration de recherche initiée en septembre 2010 entre la Direction de l’Urbanisme de la Ville de Paris, le Laboratoire de Géographie Physique (LGP) et le bureau d’études LesEnR.
 
Notre recherche s’appuie sur une série de processus réflexifs emboîtés qui lui donnent son caractère innovant. Le point de départ de notre réflexion est la démarche parisienne d’évaluation des opérations d’aménagement et son tableau de bord du référentiel « Un aménagement durable pour Paris ». Ce document réalisé par la Ville de Paris, en construction depuis 2005, fait figure de pionnier au sein de la multiplication d’initiatives d’évaluation de projets d’urbanisme revendiquant une approche de développement durable (Augiseau et al., 2008). Cette pratique empirique et innovante de l’évaluation constitue un premier niveau de réflexivité sur les pratiques d’aménagement urbain.
 
L’évaluation de cette démarche, mise en œuvre par le bureau d’études LesEnR, est le second niveau de réflexivité. L’accompagnement scientifique de la démarche, mené par le LGP, relève d’un troisième niveau de réflexivité. La rédaction de cet article, par sept co-auteurs chercheurs et/ou praticiens engagés dans la démarche d’évaluation, constitue le quatrième niveau de réflexivité sur les pratiques d’aménagement urbain durable, grâce à une médiation entre praticiens et chercheurs.

À partir du cas parisien et d’une analyse des typologies de démarches d’évaluations sur les projets de développement durable urbain, cet article interroge les conditions de pertinence et de performance de l’outil « Système d’évaluation par indicateurs en aménagement urbain durable » ainsi que les enjeux spatiaux qu’il traite.
 
 
Référence de l’article : Anne Jégou, Cédissia About de Chastenet, Vincent Augiseau, Cécile Guyot, Cécile Judéaux, François-Xavier Monaco et Pierre Pech, « L’évaluation par indicateurs : un outil nécessaire d’aménagement urbain durable ? », Cybergeo : European Journal of Geography [En ligne], Aménagement, Urbanisme, article 625, mis en ligne le 04 décembre 2012, consulté le 10 décembre 2012. URL : http:// cybergeo.revues.org/25600 ; DOI : 10.4000/cybergeo.25600
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