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CES 2017, l'innovation en lien avec le développement durable

Du 5 au 8 janvier 2017, le CES (Consumer Electronic Show) fêtait ces 50 ans à Las Vegas ! Comme tous les ans, cette grande foire mondiale était l’occasion de découvrir les dernières innovations high-tech qui vont peut-être bientôt changer notre quotidien . Les produits présentés sont très variés, ils touchent entres autres, aux domaines du sport, des transports, de la beauté, du divertissement, de la santé… Nous allons ici revenir sur quelques innovations dont l’objectif est de rendre notre monde plus durable.

 

Les innovations en matière de communication avec les usagers

Eugène : le boîtier connecté pour mieux trier

Ce projet est né de l’association de jeunes entrepreneurs français de la société Uzer et de professionnels de la distribution.

Placé au-dessus  de la poubelle, il permet de scanner les emballages afin de savoir quelles sont les consignes de tri adaptées à la ville qu’il faut suivre. Ainsi, il  n’y a plus de doute sur la poubelle de tri à utiliser. Ce boîtier permet également d’être récompensé pour le recyclage effectué en cumulant  des  points qui donneront l’accès à des réductions sur certaines marques.

Pour en savoir plus : http://www.uzer.eu/eugene-by-uzer/

Hydrao : la pomme de douche éco-sensible

La start-up grenobloise Smart & Blue présente cette année sa deuxième pomme de douche écologique, ludique et connectée qui permet de suivre ses consommations d’eau de douche par un simple code couleur.

Des Led installées au niveau de la buse de sortie éclairent le jet d’eau de 4 couleurs différentes en fonction des paliers de consommations d’eau atteint. Il est possible de créer un profil de consommation à partir du Smartphone auquel est connecté le pommeau de douche par Bluetooth, permettant ainsi d’adapter les paliers de consommation au nombre d’usagers de la douche.

De plus, les Led utilisés dans le système Hydrao ne nécessite pas de source d’énergie extérieure puisqu’elles sont alimentées par une microcentrale hydroélectrique qui utilise la pression de l’eau.

Pour en savoir plus : https://www.hydrao.fr/

Flow : le capteur individuel qui contrôle le niveau de pollution

La start-up parisienne Flow Labs a lancé son capteur personnel mobile qui permet de mesurer le niveau de pollution de l’air en n’importe quel lieu.

Le but  de ce produit est de mieux « comprendre son environnement pour mieux s’en protéger». Il permet de connaître le taux de particules fines, de  dioxyde de carbone, d’ozone et de composés organiques volatils, l’humidité et la température.

Un système de lumière Led permet d’alerter le  consommateur quand l’air autour de lui est trop pollué.

Pour en savoir plus : https://plumelabs.com/en/

Liv : un purificateur d’air innovant

La société Air Serenity propose un nouveau purificateur d’air qui agit contre les allergies, l’asthme, les mauvaises odeurs et les pollutions microbiennes.

Cette capsule est plus efficace que les purificateurs d’air standard qui utilise une technologie innovante « le plasma froid ». Un arc électrique décompose certains polluants en résidus moins nocifs ou contribue à l’agglomération des particules entre elles afin qu’elle ne s’échappe pas de la capsule.

Pour en savoir plus : http://www.air-serenity.com/?lang=fr

Les innovations en matière d’énergie

Heliatek : une fenêtre productrice d’énergie

La start-up allemande Heliatek présente des nouvelles fenêtres génératrices d’électricité.

Cette technologie se base sur des cellules photovoltaïques qui se logent dans un film quasi transparent posé sur une façade vitrée.La production d’énergie de ces fenêtres peut s’élever jusqu’à 80 W/m².

Pour en savoir plus : http://www.heliatek.com/en/

Energysquare : la revolution du chargement

Deux ingénieurs français ont mis en place un système qui permet de se passer des chargeurs de téléphones portables et autres  tablettes.

La solution repose sur l’association d’un sticker qui se colle au dos de l’appareil à charger et d’un plateau doté de dalles  conductrices qui se branche à une alimentation électrique.Une fois le sticker en contact avec le plateau, la recharge s’effectue par  conduction électrique.

Pour en savoir plus : http://www.energysquare.co/

E-sunny : une roue solaire

Rool’in propose une roue solaire qui se place à l’avant d’une bicyclette classique pour la transforme en vélo électrique.

Les capteurs photovoltaïques présents sur la roue permettent de gagner jusqu’à 20 km d’autonomie quotidienne en fonction de l’exposition.

En connectant cette roue à son Smartphone, il est possible de choisir jusqu’à 3 niveaux d’assistance, de vérifier sa charge et de consulter le nombre de kilomètres parcourus.

Pour en savoir plus : https://www.rool-in.com/

Lancey : un radiateur qui stocke l’énergie

Lancey Energy Storage, une jeune start-up française, propose un radiateur qui permet de réduire la puissance de son abonnement électrique tout en faisant des économies d’énergie.

En effet, une batterie de stockage d’électricité est intégrée au radiateur afin de stocker l’énergie pendant les heures creuses pour la restituer pendant les heures les plus gourmandes en énergie. Cet objet peut être connecté à un Smartphone afin de contrôler les radiateurs et d’accéder aux consommations d’énergie en ligne. Ce système est adapté pour les cas de rénovation énergétique utilisant du chauffage électrique.

Pour en savoir plus : http://lancey.fr/

 

L'innovation est au coeur du Développement Durable. Cette innovation peut être liée aux usages, au mode de faire, à l'exploitation ou, comme ici à la technologie. Si l'innovation technologique n'est pas une fin en soi, ces propositions témoignent de l'inventivité des ingénieurs et seront, à leurs échelles, des leviers du développement durable.

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Les bâtiments publics, bientôt légalement catalyseurs de la ville durable

L’article 8 de la loi du 17 Aout 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte énonçait la volonté de mise en place de mesures d’exemplarité des constructions publiques. La sortie du décret du 21 décembre 2016 relatif aux constructions à énergie positive et à haute performance environnementale était donc prévisible et attendue.

Des équipements publics exemplaires

Ce décret inscrit dans la loi les orientations prises par l’Etat français en termes de constructions durable.

En effet, il énonce que les acteurs de la construction « sous maîtrise d'ouvrage de l'Etat, de ses établissements publics ou des collectivités territoriales » ont pour obligation de concevoir des bâtiments ayant autant une exemplarité énergétique (mise en place de production d’énergie renouvelables,…) qu’environnementale.

Ces équipement devront ainsi privilégier des bâtiments à énergie positive ou à haute performance environnementale. Par énergie positive, on entend bien sûr un bâtiment atteignant un équilibre entre sa consommation en énergies non renouvelables et sa production en énergies renouvelables.

Des exigences renforcées sur l'énergie grise, le déchets de chantier et la qualité de l'air

Les constructions devront aussi respecter des exigences plus larges comme par exemple la minimisation :

  • de la quantité de composés organiques volatils (COV) présents dans les peintures et revêtements, particulièrement nocifs pour la santé des uusagers comme des employés,
  • des déchets de chantier,
  • des émissions de gaz à effet de serre.

Pour cette dernière, les émissions seront calculées depuis l’extraction des matériaux jusqu’à leur recyclage. Cette étude du cycle de vie (ACV) est très importante puisqu’elle influencera le type de matériaux retenus, et proscrira des méthodes de construction ayant un impact trop important sur la couche d’ozone et/ou directement sur le changement climatique.

Une exemplarité bientôt applicable?

Si ce décret marque bien une volonté de l’état et des collectivités en France de se rendre exemplaires dans leurs constructions, il en faudra encore quelques uns pour définir les seuils qui devront être respectés pour chacune de ces thématiques et rendre ainsi totalement applicable l'exemplarité évoquée des équipements publics.

Souhaitons que ces derniers décrets arrivent rapidement tant ces nouveaux équipements publics sauront insuffler un chemin à suivre pour toutes les autres constructions et constitueront, à n'en pas douter, les étendards de la Ville Durable!

Pour aller plus loin :

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Sortie du Référentiel national pour l’évaluation des ÉcoQuartiers

La démarche EcoQuartier évolue en cette fin d’année 2016, et accentue la phase d’évaluation des projets d’aménagement. C’est ainsi que vient d’être publié le nouveau label en 4 étapes, à l’occasion de la distinction des lauréats de l’édition de l’année 2016.

En parallèle le CEREMA, à la demande du Ministère du logement et de l’habitat durable, vient de publier un guide national pour l’évaluation des EcoQuartiers.

L’idée n’est pas nouvelle, puisque le ministère a engagé des réflexions sur l’élaboration d’une « boîte à outils pour l’évaluation des ÉcoQuartiers » depuis près de 4 ans. Le référentiel national pour l’évaluation en est la première étape.

Associé au référentiel, le guide pose les grands principes et offre des méthodes et outils afin de renforcer le dispositif de labellisation et d’accompagner les collectivités dans la recherche des solutions les plus durables pour leurs projets.

 

Le guide se décompose en deux parties :

  • Principes et recommandations générales pour l’évaluation

Il s’agit là d’accompagner les collectivités dans la mise en place d’une évaluation de leur projet urbain, en redéfinissant les grands principes : pilotage du projet, construction du cadre d’évaluation,…

  • Le référentiel national pour l’évaluation des ÉcoQuartiers.

Le référentiel suit la trame de la démarche EcoQuartier avec quatre sous-parties correspondant aux quatre dimensions de la charte ÉcoQuartier, décomposées elles-mêmes selon les 20 engagements.

Chaque engagement fait l’objet d’une fiche technique avec :

  • Deux à trois questions évaluatives auxquelles répondre pour évaluer le projet,
  • Une partie « Pour aller plus loin » avec, selon les engagements:
    • des exemples d’évaluation de projet,
    • des pistes d’indicateur,
    • des compléments d’information…

Par ailleurs le référentiel met également l’accent sur l’intégration des habitants et des usagers au cœur de l’évaluation.

 

Pour aller plus loin :

Plaquette de présentation

guide national

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Nouveau référentiel HQE 2016 « bâtiment durable » : décryptage

Le nouveau référentiel HQE Tertiaire dit « Bâtiment Durable » de Certivéa est applicable depuis octobre 2016 et devrait coexister pendant quelques mois avec le référentiel 2015, afin de laisser le temps aux différents acteurs de se familiariser avec toutes les évolutions et leurs implications. Il est applicable aux bâtiments neufs comme rénovés et remplace l’essentiel des référentiels existants ( à l’exception de ceux concernant les établissements de santé ou sportifs).

Définition de 4 « engagements » et de 12 « objectifs»

Le « passeport bâtiment durable » évolue. La certification valorise désormais les 4 objectifs suivant : qualité de vie, respect de l’environnement, performance économique (grande nouveauté du référentiel) et management responsable, avec 4 niveaux d’évaluation : performant, très performant, excellent et exceptionnel (suppression des niveaux bon et très bon remplacés par performant et très performant).

Les 4 engagements sont ensuite déclinés en 12 objectifs. A noter, certains de ces objectifs ne sont pas encore complètement définis (comme l’amélioration de la valeur patrimoniale).

Des 14 cibles aux 28 thèmes

En lieu et place des 14 cibles, Certivéa a défini 28 thèmes à suivre (réparties sur les 4 objectifs cités précédemment). Certains de ces thèmes ne sont pas encore définis et rentreront en application progressivement (à confirmer dans les mois qui viennent).

Evaluation HQE : des niveaux B, P et TP à l’échelle A B C D E F

L’évaluation de chaque engagement, thème, sous thème ne se fait plus entre Base, Performant et Très Performant mais de la classe A à F.

Pour certains thèmes, un minimum requis peut être nécessaire sur certaines exigences voir sur le thème considéré.

Par ailleurs, l’évaluation (précédant l'audit) ne pourra se faire qu'exclusivement en ligne via la toute nouvelle plateforme ISIA (sur le même principe que les rapports Breeam Assessor ou les évaluations NF Habitat HQE en niveau de maturité 2 depuis 2015).

Les thèmes anciens sont revisités

Différents thèmes classiques sont reconstruits pour  viser des engagements plus performantiels (par exemple, le thème « énergie » se réduit à un seul indicateur : la consommation tout usage du bâtiment). Certains thèmes disparaissent comme la cible 3 "chantier" prise en charge par le SMG d'une part et le thème "Déchets" d'autre part.

Autre évolution, le référentiel ne demande plus (à de rares exceptions près) la vérification de la réglementation. De nombreuses exigences sont ainsi supprimées.

Des méthodes de qualification de la QEB modifiées

De la même manière, les études de qualifications sont bousculées puisque, par exemple, les études de Facteur Lumière Jour sont remplacées par des études d’autonomie lumineuse. Autre révolution, pour utiliser l’étude RT 2012 dans le cadre de la certification, le porteur devra démontrer sa parfaite adéquation avec l’usage réel du bâtiment ; mission quasi impossible qui ramène les études RT à leur vraie valeur d’études réglementaires et non d’outil de définition des réelles consommations des bâtiments.

Le nouveau référentiel introduit la notion de locaux représentatifs pour les thèmes liés à l’acoustique, la qualité de l’air, les conforts hygrothermique et visuel. L’idée consiste à regrouper les locaux en blocs homogènes tant en termes d’usages que de préoccupations en regard du thème. Par exemple, une série de bureaux exposés de manière identique en enfilade sur un même niveau, pourra être définie comme homogène du point de vue du confort visuel. Un seul et unique bureau de ce bloc sera considéré comme représentatif. La modélisation sous ISIA et la validation des exigences sur ce bureau permettra de valider l’ensemble du bloc homogène.

Du SMO « Système de Management de l’Opération »  au SMR  «  Système de Management Responsable »

De façon similaire au référentiel NF Habitat HQE, Certivéa propose désormais plusieurs niveaux de maturité en termes de système de management pour les MOA, soit un niveau d’engagement dit « modulable » :

Niveau de maturité minimum à mettre en œuvre pour que l’opération soit certifiée (niveau d’entrée plus accessible qu’avec le référentiel 2015).
Système OPERATIONNEL + meilleure prise en compte du contexte, des besoins, attentes des parties prenantes, et mise en œuvre d’un premier niveau de commissionnement des installations (niveau classiquement atteint avec une bonne programmation telle qu’exigée avec le référentiel 2015 et quelques notions de commissionnement).
Système MAITRISE + une meilleure implication des parties prenantes et des acteurs de l’opération dans un mode participatif tout au long de l’opération, ainsi que la mise en œuvre d’un commissionnement plus étendu (niveau classiquement atteint avec une bonne programmation et un bon suivi de système de management d’opération tout au long d’une opération telle qu’exigée avec le référentiel 2015).
Système MAITRISE + l’opération bénéficie des retours d’expériences formalisés d’au moins 2 autres opérations, ce qui contribue à optimiser et fiabiliser le SMR (niveau non accessible de suite, les MOA ne pouvant pour l’instant faire valoir leur retour d’expérience sur des opérations autres que celles suivant le référentiel 2016).
Système PARTICIPATIF + OPTIMISE

Processus de certification

Grande nouveauté du référentiel 2016, l’inscription « libre » du projet en phase programme, conception ou réalisation pour un projet de construction/rénovation, avec néanmoins une mise en garde sur une inscription trop tardive sans qu’un suivi environnemental ait été fait sur les phases précédentes.

 

A noter, pour l’année 2017, Certivéa prévoit une utilisation concomitante des 2 versions du référentiel (2015 et 2016), afin de laisser un temps d’appropriation aux différents acteurs.

Le rôle de référent valorisé

Avec la décision de ne plus diffuser librement son référentiel technique et d’imposer le passage par son outil en ligne ISIA, Certivéa entend valoriser le rôle du référent qui si il n’est pas indispensable prend le rôle de formateur des maitres d’ouvrage et facilitateur des relations avec l’organisme.

Avant chaque audit, le porteur de projet doit mener une auto évaluation de son bâtiment en regard du niveau visé. L’auditeur pourra ainsi mener une analyse de cette évaluation et des preuves fournies (mises en ligne également) pour préparer son plan d’audit.

Compte tenu de la technicité de cette évaluation, Certivéa prend en compte la présence du référent en adaptant la durée d’audit.

Benchmark

A terme, Certivéa pourra proposer aux opérations engagées en certification un « benchmark » précis des opérations similaires qui auront utilisées la plateforme ISIA pour s’évaluer.

 Pour plus de détails

 

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4 ambitions pour une démarche renouvelée – Les EcoQuartiers Lauréats en 2016

Le Gouvernement vient de remettre ce jeudi 8 décembre les diplômes de la démarche EcoQuartier.

Un  EcoQuartier  est  un  projet  d’aménagement  urbain  qui,  tout  en  s’adaptant  aux  caractéristiques de son territoire, respecte les principes du développement durable :

  • faire du projet autrement, en impliquant tous les acteurs de la ville, du citoyen à l’élu, pour garantir la qualité du projet dans la durée et à l’usage ;
  • améliorer le quotidien , par la mise en place d’un cadre de vie sain et sûr pour tous les  habitants  et  usagers  de  l’espace  public  ou  privé,  et  qui  favorise  le  vivre ensemble ;
  • participer au dynamisme économique et territorial,
  • promouvoir  une gestion  responsable  des  ressources  et  de  l’adaptation  au changement climatique.

Les Lauréats 2016

Avec l’application dès cette année de la nouvelle nomenclature de labellisation, 31 opérations sont distinguées par les niveaux 2 et 3 du label ÉcoQuartier :

  • 12 « ÉcoQuartiers – étape 3 », accueillant plus de 25 000 habitants et plus de 11 000 logements construits ou réhabilités dans 6 régions françaises. Parmi ces ÉcoQuartiers labellisés, 75 % sont des opérations en renouvellement. Et pour la première fois, le label a été décerné à l’international, à un quartier japonais.
  • 19 « ÉcoQuartiers – étape 2 », dans 10 régions françaises. Parmi ces projets, 58 % sont des opérations en renouvellement urbain.

Label étape 3

1. Arelaune-en-Seine (Quartier de l’église)
2. Brétigny-sur-Orge (Clause bois Badeau)
3. Changé (Requalification du centre-ville)
4. Dun (Le palassou)
5. Issy-les-Moulineaux (Les bords de Seine)
6. Paris (Clichy Batignolle)
7. Pessac (Quartier Arago)
8. Ramonville-Saint-Agne (Maragon Floralies)
9. Ris-Orangis (Les Docks de Ris)
10. Saint-Jean-de-Braye (Ecoquartier du Hameau)
11. Saint-Ouen (Les Docks de Saint-Ouen)
12. Val de Rueil (Eco village des Noès)

Label étape 2

1. Argonay (Quartier durable des Rigoles)
2. Avignon (Joly Jean)
3. Chantepie (Bocage Citadin)
4. Chantraine (Parc de l’Arsenal)
5. Clapiers (ZAC du Castelet)
6. Cognin (Ecoquartier de Villeneuve)
7. Commercy (Zac des Capucins)
8. Cornimont (Ecoquartier Daval-Saulcy)
9. Hénin-Beaumont (Sainte-Henriette)
10. Jugon-les-Lacs (Réaménagement du centre-bourg)
11. Les Hermites (Les arpents)
12. Lilles (fives Cails)
13. Ostwald (Les rives de Bohries)
14. Quesnoy-sur-Deûle (L’ange gardien)
15. Rueil-Malmaison (L’Arsenal)
16. Saint-Martin-d’Hères (ZAC Daudet)
17. Saint-Sylvain d’Anjou (Réaménagement du centre-Bourg)
18. Sochaux (ZAC de la Savoureuse)
19. Trilport (L’ancre de la lune)

Une nouvelle dynamique souhaitée

Pour  faire  émerger  un  label  renouvelé,  Emmanuelle COSSE a demandé  en  juin  2016  à  Alain  Jund,  vice-président de l’Eurométropole de Strasbourg, de mener une large consultation des parties prenantes avec la double ambition de rendre la démarche accessible au plus grand nombre  et  de  mettre  toujours  d’avantage  les  habitants  en  position  d’acteurs  de  leur cadre de vie.

4 ambitions pour une démarche « renouvelée »

La démarche porte 4 nouvelles ambitions :

  1. Des ÉcoQuartiers pour tous avec comme objectif d’atteindre 500 ÉcoQuartiers labellisés en 2018.
  2. Des  ÉcoQuartiers  pour  tous  les  types  de  territoires :  urbains,  ruraux  et périurbains ; avec l’ambition d’atteindre 30% d’opérations réalisées en milieu rural d’ici 2018.
  3. Des ÉcoQuartiers laboratoires d’innovation et de fabrication de la ville durable en renforçant leur rôle de pionnier en matière d’énergie, de mobilité, de santé, d’économie circulaire,  de ville intelligente,  d’habitat  participatif,  de  sobriété  et de réversibilité.
  4. Un  label  opérationnel  à  la  lisibilité  renforcée qui  accompagne  désormais l’ÉcoQuartier tout au long de son cycle de vie.

Une nouvelle étape et un nouveau logo

Le nouveau label accompagne les collectivités territoriales voulant créer un ÉcoQuartier dès la conception du projet jusqu’à la vie du quartier. Ainsi, la démarche est valorisée avant que le projet ne soit réalisé et tout au long de son avancement. Cela permet de susciter une dynamique auprès des investisseurs comme des citoyens. 

La  démarche  de  labellisation  renouvelée  comporte  4  étapes,  correspondant  aux différents  stades  du  projet :  l’idée  et  la  conception,  la  mise  en  chantier,  la  vie  de quartier,  l’amélioration  continue  avec  et  pour  ses  usagers.  À  la  demande  de  la collectivité,  les  services  de  l’État  et  les  partenaires  locaux  peuvent  accompagner  le projet à toutes les étapes.

  • Label ÉcoQuartier – étape 1 : L’ÉcoQuartier en projet
  • Label ÉcoQuartier – étape 2 : L’ÉcoQuartier en chantier
  • Label ÉcoQuartier – étape 3 : L’ÉcoQuartier livré
  • Label ÉcoQuartier – étape 4 : L’ÉcoQuartier vécu et confirmé

 

 

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