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La biophilie, une bonne raison de remettre la nature au cœur de notre quotidien !

Le terme biophilie, littéralement « l’amour du vivant », désigne l’affinité innée de l’Homme pour le vivant et les systèmes naturels. Il a donné naissance à une méthode de design et d’aménagement qui rétablit le contact entre Homme et nature dans l’environnement urbain. Celle-ci a de nombreux bénéfices, aussi bien sur la santé humaine et la biodiversité que sur l’économie.

Qu’est-ce que la biophilie ?

Le terme biophilie a été inventé par le psychologue social Eric Fromm dans les années 1965 puis a été vulgarisé par le biologiste Edward Wilson, auteur de Biophilia, en 1984.
La biophilie est le besoin inné de l’Homme de se sentir connecté à la nature et aux biotopes. Elle explique, par exemple, le sentiment de plénitude que nous pouvons ressentir lorsque nous nous retrouvons immergés dans un espace naturel.

Ce besoin a donné lieu au design biophilique, branche du mouvement du développement durable, qui s’efforce de rétablir ce contact avec la nature dans l’environnement bâti. Il recrée les ambiances et les ressentis de la nature dans notre quotidien, fournissant des expériences sensorielles et réveillant ainsi nos sens. Cette méthode de conception se situe à la croisée des domaines de la santé, de la biodiversité, de l’art et de la beauté.

Comment intégrer la biophilie dans l’aménagement ?

Le cabinet de consulting et de planning stratégique environnemental Terrapin, dans sa publication 14 Modèles de Conception Biophilique, 2014, présente quatorze principes biophiliques. Ceux-ci ont pour but de guider les aménageurs dans l’intégration de la biophilie dans leurs projets.
Terrapin subdivise ces quatorze principes en trois catégories :

  • La nature dans l’espace. Cette catégorie concerne la présence directe de la nature, sous toutes ses formes (végétaux, animaux, eau, mais également lumière, sons et effluves olfactives), dans un espace ou un lieu.
    La présence de plantes en pots, de fontaines, de toits et de murs végétalisés, le renouvellement d’air et le confort thermique, ou encore tout simplement une fenêtre donnant sur un jardin, sont des exemples d’application des principes de cette catégorie.

(Source)

  • Les analogies naturelles. Elle concerne les évocations et imitations biologiques, non-vivantes et indirectes de la nature. Cela peut se traduire au niveau de la conception par l’intégration de meubles ou bâtis de forme biologique ou l’utilisation de matériaux et textures naturels

(Source)

  • La nature de l’espace. Cette catégorie concerne les ambiances recréées par les espaces aménagés et la réponse que nous avons à leur contact. Elles nous permettent de nous projeter, de nous évader tout en restant attentif à notre environnement. Au niveau de la conception, cela peut, par exemple, se traduire par la mise en place d’un lieu de refuge qui procure un sentiment de sécurité et de retrait et favorise le travail ou le repos ; ou bien par l’instauration passagère d’un sentiment de risque identifiable et maîtrisable, qui par la production de dopamine qu’elle induit, nous amène à nous sentir exaltés et bien dans notre environnement.

Exemple d’application du principe de risque : Levitated Mass de Michael Heizeh au Musée d’Art du Comté de Los Angeles,
(Source )

Ces principes de conception biophilique proposent une large gamme de possibilités de mise en œuvre, tant dans les environnements intérieurs qu’extérieurs, les rendant adaptables à tous les types de projets.

Les 14 principes de conception biophiliques (Source : 14 Modèles de Conception Biophilique, Terrapin, 2014)

 

Pourquoi intégrer la biophilie dans les projets d’aménagement ?

Au-delà de l’aspect esthétique pur, l’intérêt du design biophilique est aujourd’hui prouvé. Diverses études ont montré son effet au niveau des entreprises, des structures d’éducation et de santé, voire même à une échelle plus large.

En effet, la conception biophilique permet :
• Au travail, de réduire le stress, l’absentéisme et d’augmenter la productivité, la créativité et le maintien des équipes.
• Dans le domaine de l’éducation, de réduire le taux d’absentéisme, d’améliorer les résultats d’examen et d’accélérer l’apprentissage.
• Dans le domaine de la santé, de réduire le temps d’hospitalisation et d’accélérer le temps de guérison.
• Au sein des collectivités, de réduire la criminalité et d’augmenter la valeur immobilière.

Le design biophilique, en recréant un lien à la nature quelque peu perdu au vu du contexte actuel où nous passons la majeure partie de notre temps dans des espaces urbains et intérieurs, apparaît comme un moyen de replacer le bien-être et la santé des usagers au cœur de l’aménagement.

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Les lauréats de l’appel à projets « pour de nouvelles mobilités actives, électriques et numériques » donnent un aperçu des déplacements de demain

Les six lauréats de l’appel à projets innovants « pour de nouvelles mobilités actives, électriques et numériques » lancé par la Société du Grand Paris et le Stif ont été révélés le 21 Juin 2017. Les innovations devraient être lancées dès Septembre 2017 et dressent d’ores et déjà un portrait des potentielles mobilités de demain.

La Société du Grand Paris et le Stif (Syndicat des transports d'Île-de-France) avaient lancé en Avril 2017 un appel à projets innovants « pour de nouvelles mobilités actives, électriques et numériques ». Il a pour objectif de développer et de favoriser l’usage des mobilités douces (marche, vélo, autopartage…) dans le futur Grand Paris Express qui devrait être réalisé en majeure partie d’ici à 2030.

Les six lauréats ont été annoncés le 21 Juin 2017. Ceux-ci ont été sélectionnés sur leur caractère innovant, leur capacité à expérimenter, la pertinence et le potentiel de généralisation de leur solution ainsi que son impact environnemental, économique et social.
Chaque innovation sera testée pendant six mois dans l’une des gares expérimentales sélectionnées parmi les soixante-huit futures gares du Grand Paris Express.

Localisation des innovations – Source : Vizea d’après Société du Grand Paris

Les six gares sélectionnées sont représentées sur la carte ci-dessus. Les lauréats associés sont :

  • A Antonypôle, OuiHop, une application mobile de partage des trajets quotidien fondée sur le principe de l’autostop, sera développée. Elle a pour objectif de « transformer les flux de voitures circulant en un réseau dynamique de transport en commun ».
    Elle fonctionne en temps réel grâce aux fonctions de géolocalisation du smartphone. Les conducteurs indiquent leurs itinéraires sur Google Maps. De leurs côtés, les potentiels passagers voient s’afficher les différents itinéraires aux alentours avec des informations sur le véhicule et sur le conducteur. Si le passager souhaite covoiturer, il envoie une notification au conducteur, qui peut accepter ou non de le prendre sur son parcours.
    Les conducteurs ne sont pas rémunérés par les piétons pour les trajets effectués, mais plus ils participent au service, plus ils cumulent de points leur permettant de bénéficier de bons cadeaux tels que des chèques carburant, des révisions ou encore des produits d’assurance. Pour les piétons, l’utilisation est gratuite jusqu’à trois trajets par mois et le pass piéton illimité valable trente jours coûte 2€.

Pourquoi avoir choisi la gare Antonypôle comme lieu d’expérimentation? Tout simplement parcequ’elle est une zone d’activité où les trajets entre les stations de RER avoisinantes et les lieux de travail sont nombreux.

  • A La Courneuve "Six routes", le bureau d’études ETC (Écomobilités, Territoires & Connexions) aménagera un corridor, composé d’une piste cyclable et d’une piste d’athlétisme, entre la future gare et les parcs de la commune Georges-Valbon et de Marville. Des radars seront installés le long du parcours pour permettre aux sportifs de connaître leurs performances en temps réel. Ce corridor a pour objectif de diminuer les distances à parcourir pour se rendre aux parcs et ainsi de dissuader les usagers d’utiliser leurs voitures.
  • A Val-de-Fontenay, le projet Vélos en gare souhaite développer une offre de services autour du vélo pour démocratiser son usage. Ainsi, l’entreprise le Triporteur proposera un service de réparation de vélo ; l’association SoliCycle proposera des formations de réparation de vélos ; il sera possible de faire marquer son vélo afin de le retrouver en cas de vol ; et Cyclez, soutenu par la Poste, proposera à la location des vélos à assistance électrique pour les salariés des entreprises du secteur.
  • A Bondy, le projet Bondycycle souhaite, lui aussi, développer l’usage du vélo. Il s’appuie sur un partenariat entre Villavel-Efficacity, SoliCycle, Cyclez et Altinnova. Il souhaite proposer des formations à l’autoréparation, des locations de vélos pliants et électriques pour des longues durées et des stationnements de vélos sécurisés à proximité de la gare.
  • A Saint-Denis Pleyel, Adactive proposera un système de guidage pour les piétons. Ces derniers pourront calculer leur itinéraire à partir d’une borne tactile installée à proximité de la gare et suivre leur trajet grâce à une application mobile. La borne proposera des parcours «intelligents», prenant en compte les lieux d’intérêt de la ville. Elle récolte également des données qui permettront de mieux comprendre et cerner les usages et habitudes des utilisateurs.

  • A Rueil-Suresnes "Mont-Valérien", Cmabulle, un outil gratuit conçu par Keolis et Flexineo, propose un service de partage de conduites entre parents pour assurer les trajets aux activités scolaires et extra-scolaires. Les familles du secteur pourront utiliser cet outil à la fois pour proposer d’accompagner les enfants et pour rechercher une solution d’accompagnement. Il est composé d’un service de « Bourses aux Conduites » pour permettre aux parents de trouver d'autres familles proches de chez eux, dont les enfants fréquentent les mêmes cours ou la même école et d’un service de communication entre parents en temps réel pour leur permettre de s'organiser. Il est complémentaire aux transports en commun et laisse libre le choix du mode de transport (marche, vélo, covoiturage..).

Les expérimentations devraient débuter dès Septembre 2017. L’objectif sera de dupliquer ces innovations dans l’ensemble des gares programmées du Grand Paris Express si celles-ci s’avèrent concluantes. Voilà qui augure de grands changements dans nos mobilités !
Pour plus d’informations sur les lauréats : Ici & ici

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Construire en bois local – Comment passer à l’action ?

De l’ambition de départ (construire en bois local) à la réalisation, le chemin est souvent long et semé d’embuches. Il demande un fort investissement et une constance de la part du porteur du projet et de tous les acteurs qui travaillent pour lui.

 Si la volonté initiale de la maitrise d’ouvrage est de construire en bois local, plusieurs questions se posent dès le départ : cela va-t-il couter plus cher, comment imposer le bois dans un marché public, comment garantir son origine locale… ? Raisonnons étapes par étapes :

 1 / La pré-programmation

Il est important d’être informé et de solliciter au maximum les acteurs locaux pour connaitre les possibilités qu’offre le bois et les compétences des filières locales : le CNDB (Comité National pour le Développement du Bois), les CAUE (Conseil d’Architecture d’Urbanisme et de l’Environnement), les Associations Régionales des Communes Forestières, les fédérations interprofessionnelles Bois (FIBRA en Rhône-Alpes par exemple) et les AMO spécialisés (Assistants à Maîtrise d’Ouvrage)…

 2 / La programmation

Les objectifs Développement Durable doivent apparaitre clairement dans le document de programmation du projet. Les demandes de matériaux biosourcés ou à faible impact carbone, de bois local peuvent et doivent être inscrites. Cela permet clairement à la maitrise d’ouvrage d’afficher ses ambitions et aux architectes intéressés de pouvoir identifier le système constructif bois dans la consultation.

 3 / Le choix de la maîtrise d’œuvre.

Lors de l’analyse des candidatures, il est essentiel d’inclure des critères de sélection liés aux compétences bois de l’ensemble de l’équipe de maîtrise d’œuvre (y compris économiste, bureaux d’études structure, bureaux d’études fluides…) et de vérifier leurs références. Avoir une équipe spécialisée en structure bois et un architecte porteur d’ambitions environnementales dans ses projets est primordial pour maintenir les objectifs initiaux. Une fois, la maitrise d’œuvre choisie, c’est à elle de traduire et décliner les objectifs : conception, choix des entreprises, suivi de chantier …

 4 / La conception.

La conception doit être adaptée au contexte local : ressources disponibles, compétences des entreprises, … En effet, certaines essences de bois ou certains systèmes constructifs privilégieront les circuits locaux. Exemple : une conception en bois massif et non en lamellé-collé dont environ 80% sont issus de bois importés.

 5/ La consultation et la sélection des entreprises.

De manière générale, il faut formuler des CCTP (Cahier des Clauses Techniques Particulières) précis, intégrant les particularités techniques et le vocabulaire du bois. A retenir :

  • Bois local – France ou Europe : demander des bois labellisées PEFC ou FSC accompagnés des termes « ou équivalent ».
  • Bois local – Régional ou d’un massif forestier particulier : en fonction de la localité du projet, une certification/label peut être demandée. Par exemple la certification « BOIS DES ALPESTM ou équivalent ». Développée dans les régions Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte-D’azur, cette certification a pour objectif de promouvoir la ressource issue du massif alpin français, de contribuer à valoriser les compétences de la filière bois locale, et de préserver l’emploi. La démarche garantit l’origine et la transformation locale des bois (traçabilité à 100 %), leur qualité, leurs caractéristiques techniques (bois éco-certifiés type PEFC, séchage garanti), et le respect des normes en vigueur. Autres exemples : Bois Qualité Savoie, Bois de Chartreuse, …
  • Bois local – Communal : La maitrise d’œuvre possède des bois et souhaite construire avec ses bois communaux ou le bois des communes voisines. En marché public, c’est aussi possible. Pour faire du 100% très local, deux démarches :
    • le maître d'ouvrage utilise son bois et en reste propriétaire
    • le maître d'ouvrage utilise son bois et le met à disposition lors des consultations des entreprises : Vente de bois aux entreprises sous forme de grumes.

Dans les deux cas, ces démarches prennent du temps supplémentaires pour les membres du projet et notamment la maitrise d’œuvre. Il faut en amont : identifier les bois et le volume nécessaire, marquer les arbres, scier, couper, sécher, … avant le travail du charpentier. D’où l’intérêt pour la maitrise d’ouvrage d’avoir un accompagnement par les acteurs locaux du territoire et d’être bien accompagné par sa maitrise d’œuvre.

Retrouver des exemples de construction bois

Ressources: Fiche outil FIBRA (Auvergne-Rhône-Alpes)



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Comment aborder la ventilation en rénovation?

Le renouvellement de l’air dans un bâtiment est indispensable, d’une part pour la préservation du bâti (régulation de l’humidité) et d’autre part pour les occupants (qualité de l’air intérieur et confort thermique).

Ce renouvellement est assurée par une ventilation soit naturelle soit mécanique.

 

Vizea a participé à la conférence sur l'installation d'une VMC double flux en rénovation du 5 à 7 de l’écoconstruction du Rhône ce jeudi 1er juin à Lyon.

La notion de la ventilation a été abordée dans un contexte bien spécifique, celui de la rénovation, avec notamment la question du système de VMC double flux. Si la nécessité de bien ventiler des pièces  de vie fait l’unanimité, le choix d’un système VMC double flux divise les spécialistes.

La VMC double flux a un intérêt incontestable du point de vue des performances énergétiques. Cependant son inconvénient principal reste le prix et son insertion dans un bâti existant.

En effet, quelles sont les performances réelles (et donc la rentabilité d’une double flux) si le bâtiment reste très perméable à l’air ? Comment par ailleurs insérer le double circuit de gaines (soufflage et extraction) en rénovation ?

La VMC double-flux n’est donc pas une solution systématique en rénovation : elle peut être judicieuse dans le cas où la perméabilité à l’air du bâti est maitrisée et où les volumes permettent l’ajout du réseau aéraulique.

Ce point spécifique peut être partiellement contourné en choisissant des systèmes de VMC décentralisées pièce par pièce.

Le choix des systèmes de ventilation doit donc s’étudier au cas par cas par rapport aux propriétés du bâti à ventiler. Une bonne conception des réseaux aérauliques (en privilégiant des gaines rigides), et surtout le choix d’entreprises qualifiées et compétentes dont l’installation est validée par un test d’étanchéité à l’air des réseaux aérauliques (beaucoup moins connu que le test bâtiment et pourtant tout aussi important).

Pour en savoir plus (réécoute de la conférence possible d’ici fin juin)

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Le décret qui acte l'exemplarité des bâtiments publics

S’inscrivant dans les orientations prises par l’Etat français visant l’exemplarité énergétique et environnementale de ses constructions, le décret n° 2016-1821 du 21 décembre 2016 avait défini les critères des bâtiments  BEPOS et de haute performance environnementale comme nous l'avions évoqué dans cet article.

Un arrêté applicable le 20 avril 2017

Faisant suite à ce décret, l’arrêté du 10 avril dernier précise plus particulièrement les exigences afin de disposer de seuils de performance communs. L’arrêté entrant en vigueur le 20 avril 2017, le décret sera applicable dès le 1er septembre prochain.

Les bâtiments public à énergie positive

Ainsi, les constructions neuves  « sous maîtrise d'ouvrage de l'Etat, de ses établissements publics et des collectivités territoriales » devront anticiper la future réglementation environnementale 2020 en atteignant les niveaux Energie 3 ou 4 du référentiel Energie-Carbone.

Les bâtiments public à haute performance environnementale

Concernant la haute performance environnementale, le texte précise que :

  • Les constructions viseront une faible empreinte carbone. La quantité des émissions de gaz à effet de serre sur l'ensemble du cycle de vie seront inférieurs ou égaux respectivement aux niveaux maximaux Eges max et Eges PCE max du niveau " Carbone 1 " ou du niveau " Carbone 2 ".
  • Les déchets de chantier devront être valorisés à au moins 50 % de la masse totale des déchets générés, hors déchets de terrassement.
  • La quantité de composés organiques volatils (COV) devra être minimisée en ayant recours à des produits et matériaux de construction, revêtements de mur ou de sol, peintures et vernis  étiquetés A+. Les installations de ventilation feront également l'objet d'un diagnostic technique par le maître d'ouvrage.
  • Les constructions devront intégrer un taux minimum de matériaux biosourcés en atteignant le niveau 1 du label " bâtiment biosourcé ".

Dans un contexte où pour prétendre atteindre les objectifs de l'accord de Paris sur le climat, le secteur du bâtiment doit être entièrement "neutre en carbone" d'ici 2050, le texte de loi incite au passage de l'efficacité énergétique à la performance environnementale globale.

 

Pour aller plus loin : lire l'arrêté

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